Le 10 avril prochain aura lieu le 1er tour des élections présidentielles.
Or, nous traversons des temps rudes et périlleux. Les échéances qui approchent seront donc cruciales.
Toutefois, nous ne devons pas nous laisser submerger par la peur car elle est mauvaise conseillère.
Électeurs et acteurs du bien
Enracinés dans l’expérience baptismale de la fraternité, nous ne devons donc pas être tiraillés entre notre identité de croyants et notre identité de citoyens.
En effet, celles-ci ne se situent pas sur le même plan.
Puisque les ressources spirituelles de notre foi emplissent nos cœurs de joie et doivent éclairer nos choix nous devons trouver en elles :
- le goût de contribuer avec tous nos concitoyens à plus de justice et de paix.
L’espérance, un acte de foi
Celle-ci ne déçoit pas puisque : « L’amour de Dieu a été répandu dans nos cœurs par l’Esprit Saint … » (Rm 5, 5).
Elle doit donc tenir bon !
C’est ce que nous rappelle Saint Paul : « Nous nous souvenons que votre foi est active, que votre charité se donne de la peine, que votre espérance tient bon en notre Seigneur Jésus Christ… » (1 Th 1, 3 ).
Voilà qui nous encourage et nous oblige à un « amour qui se donne de la peine ».
L’équipe du site internet
Sources : L’espérance ne déçoit pas – Conclusion p. 59 à 61)
Illustration : Pxhere – CCO libre de droit et Wikimédia Commons – Devise nationale sur le tympan de la collégiale St Pancrace à Aups (Var) – Domaine public