Mardi 24 décembre, c’ est dans son fauteuil roulant que le pape François :

• ouvrait la porte sainte de la basilique Saint Pierre de Rome afin d’inaugurer l’ année sainte.

Puis ce matin, pour exprimer l’ espérance en l’ avenir et un nouvel engagement de vie :

• Il en ouvrait une seconde. Celle symbolique de la chapelle « Padre Nostro » de la prison de Rebibbia à Rome.

Cette fois, c’ est debout, appuyé sur sa canne qu’ il tapait à la porte puis y faisait quelques pas.

Par ce geste symbolique, il désirait exprimé :

• sa proximité avec tous les détenus du monde,

les incitant  :

• à ouvrir en grand les portes du cœur car a-t-il dit : « Les cœurs fermés et durs n’ aident pas à vivre ».

Sans doute une manière de mettre en avant la conclusion de son homélie prononcée mardi soir au cours de la messe de la nativité :

« En contemplant la bonté aimante de Dieu qui surmonte nos méfiances et nos peurs, nous contemplons aussi la grandeur de l’ espérance qui nous attend. […] Que cette vision d’espérance illumine notre chemin de chaque jour » (C. M. Martini, Omelia di Natale, 1980).

« Ma sœur, mon frère, en cette nuit, c’ est pour toi que s’ ouvre la « porte sainte » du cœur de Dieu. Jésus, le Dieu-avec-nous, est né pour toi, pour moi, pour nous, pour chaque homme et chaque femme. Et tu sais ? Avec Lui, la joie fleurit, avec Lui la vie change, avec Lui l’espérance ne déçoit pas. »

Que sa demande ne soit pas vaine. Apprenons nous aussi à vivre l’Espérance en paroles et en actes.

Le pape François ouvrira la troisième Porte Sainte, celle de Saint-Jean-de-Latran dont il est l’ évêque, le 29 décembre.

Georgette

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